La venue tant attendue
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La venue tant attendue
par Invité Mar 8 Mar - 21:36
Cela faisait quelques temps que Saphyr avait poser ses valises dans une auberge de saint claude pour effectuer les recherches concernant sa famille maternelle.
ses fouilles furent longues dans les archives mais certain dossier la conduisirent jusqu'à Edellia.
après de courte discutions en taverne et lui avoir montrer quelques document, elle l'avait invité a venir chez elle pour en discuter de façon plus tranquille.
Kéraumi qui détestait pourtant la franche compté l'avait suivi dans sa nouvelle aventure de recherche sur ses origines.
Et même si la jeune femme passait ses journée et parfois même jusque très tard le nez dans ses papiers, elle finissait toujours par rejoindre leur chambres qu'il partageaient tout deux.
La blonde appréciait son ami et sa courtoisie envers elle et même s'il leur arrivait de partager un lit double par manque de place, jamais il n'avait eu de geste déplacer mise a part quelques baisers que venait lui voler Saphyr.
Encore une fois il l'a suivi vers l'inconnu de ce domaine.
La jeune femme remarqua un poste de garde et y entraîna le brun le sourire au lèvre cachant son angoisse intérieur de se que cette visite pourrai lui apprendre ... ou pas...
Bonjour, je suis Saphyr du val d'haine, Dame Edellia attend ma venue depuis longtemps.
ses fouilles furent longues dans les archives mais certain dossier la conduisirent jusqu'à Edellia.
après de courte discutions en taverne et lui avoir montrer quelques document, elle l'avait invité a venir chez elle pour en discuter de façon plus tranquille.
Kéraumi qui détestait pourtant la franche compté l'avait suivi dans sa nouvelle aventure de recherche sur ses origines.
Et même si la jeune femme passait ses journée et parfois même jusque très tard le nez dans ses papiers, elle finissait toujours par rejoindre leur chambres qu'il partageaient tout deux.
La blonde appréciait son ami et sa courtoisie envers elle et même s'il leur arrivait de partager un lit double par manque de place, jamais il n'avait eu de geste déplacer mise a part quelques baisers que venait lui voler Saphyr.
Encore une fois il l'a suivi vers l'inconnu de ce domaine.
La jeune femme remarqua un poste de garde et y entraîna le brun le sourire au lèvre cachant son angoisse intérieur de se que cette visite pourrai lui apprendre ... ou pas...
Bonjour, je suis Saphyr du val d'haine, Dame Edellia attend ma venue depuis longtemps.
Invité- Invité
Re: La venue tant attendue
par Hector Lefranc Mer 9 Mar - 23:01
Il avait suivit Madame ... Après le décès de Monsieur la Baronne était venu le trouver et lui avait proposé à lui , ainsi qu'à toute la mesnie de Wildungen , de venir travailler pour elle à Arolsen . Et c'est avec joie qu'Hector avait suivit Madame dans sa nouvelle demeure .
Domaine moins grand ? que nennie ma foi .... Bien que n'étant qu'une Baronnie le château n'était rien d'autre que l'ancienne demeure des princes de Waldeck et en cela le faste des lieux ne devait rien à envier à Wildungen .
Et puis le vieux Majordome aimait la blonde Baronne et lui en savait grès d'avoir pensé aux domestiques malgré son malheur. En ces temps difficiles peu de nobles auraient penser à eux les domestiques .. elle si malgré sa grande peine . C'est donc tous sans exception qu'ils avaient suivit Edellia ... Jardiniers , servantes , cuisinières , palefreniers ... et lui.
Il promenait désormais son air pincé dans les couloirs de cette belle demeure et comme toujours il tenait à accueillir lui même les visiteurs .
La Dame se présenta donc et lui vint à sa rencontre la saluant d'une inclinaison du buste protocolaire .
" Si Mademoiselle veut bien me suivre je vais la conduire auprès de Madame . Mademoiselle est elle accompagnée ? "
Domaine moins grand ? que nennie ma foi .... Bien que n'étant qu'une Baronnie le château n'était rien d'autre que l'ancienne demeure des princes de Waldeck et en cela le faste des lieux ne devait rien à envier à Wildungen .
Et puis le vieux Majordome aimait la blonde Baronne et lui en savait grès d'avoir pensé aux domestiques malgré son malheur. En ces temps difficiles peu de nobles auraient penser à eux les domestiques .. elle si malgré sa grande peine . C'est donc tous sans exception qu'ils avaient suivit Edellia ... Jardiniers , servantes , cuisinières , palefreniers ... et lui.
Il promenait désormais son air pincé dans les couloirs de cette belle demeure et comme toujours il tenait à accueillir lui même les visiteurs .
La Dame se présenta donc et lui vint à sa rencontre la saluant d'une inclinaison du buste protocolaire .
" Si Mademoiselle veut bien me suivre je vais la conduire auprès de Madame . Mademoiselle est elle accompagnée ? "
Hector Lefranc- Messages : 3
Date d'inscription : 09/03/2016
Re: La venue tant attendue
par Invité Ven 11 Mar - 0:47
"Mademoiselle est-elle accompagnée" ? Sans rire ? Keraumi retient sa remarque à l'ironie caustique. Il n'était pas transparent, aux dernières nouvelles.
Mademoiselle est accompagnée, en effet...
Plus diplomatique, mais le ton acide filait doux quand même. Que voulez-vous, on ne se refait pas. Et les derniers mois ne lui avaient pas arrangé l'humeur au pauvre Kero. Chaque jour, soit il s'esquintait les yeux aux archives en compagnie de sa jolie blonde (du coup, il s'esquintait surtout les yeux à la regarder entre les étagères) ; ou alors il se bourrait le crâne de connaissance à l’Université. Au choix. Choix bien difficile et surtout très ennuyant. Après avoir gagné sa tranquillité, voilà la bougeotte qui le reprenait. Comble ! Ou plutôt vide, comme un manque. Manque de voyage, manque d’aventure…
Et surtout, il voyait se refermer sur lui le doux piège de la noblesse. Sa Saphyr, noble des deux côtés. Adieu la dure vie mouvementée des marées, rêche de sels et de vents. Et bienvenu à l’horizon quadrillé de ces palais dorés. Sacrifice de vie, mais c’était un maigre prix. D’ici quinze ans, peut-être, il en aurait marre. Mais aujourd’hui, il tenait à accompagner sa belle partout où elle allait. Alors oui, elle était accompagnée, la demoiselle ! Oui, et Kero n’était pas près de la lâcher, même s’il devrait passer par toutes les familles au sang bleu de la Franche-Comté. Mais tant qu’à faire, autant se facilité le parcours. Grand sourire, et il ouvrit la bouche pour plaisanter :
Et maintenant, elle l’est doublement !
Un mur lui répondit. Face impassible des nobliaux et serviteurs encroutés dans leurs conventions et leur protocole. Mais sortez-vous donc les balais du cul, mes pauvres… Vivez ! Volez ! Virevoltez avec le vent. Voguez sur la vague de la vie ! Mais non. Rien, juste un air pincé, voir agacé. Comme toujours. Très bien, puisqu’il fallait se tenir docile et flatter les règles dans le sens du poil…
Arhm, excusez-moi. Keraumi Lagan, fils de Njord. J’accompagne Ma dame.
Petite courbette selon l’étiquette, emballer c’est pesé. S’il fallait hurler parmi les loups, il s’y collerait.
Mademoiselle est accompagnée, en effet...
Plus diplomatique, mais le ton acide filait doux quand même. Que voulez-vous, on ne se refait pas. Et les derniers mois ne lui avaient pas arrangé l'humeur au pauvre Kero. Chaque jour, soit il s'esquintait les yeux aux archives en compagnie de sa jolie blonde (du coup, il s'esquintait surtout les yeux à la regarder entre les étagères) ; ou alors il se bourrait le crâne de connaissance à l’Université. Au choix. Choix bien difficile et surtout très ennuyant. Après avoir gagné sa tranquillité, voilà la bougeotte qui le reprenait. Comble ! Ou plutôt vide, comme un manque. Manque de voyage, manque d’aventure…
Et surtout, il voyait se refermer sur lui le doux piège de la noblesse. Sa Saphyr, noble des deux côtés. Adieu la dure vie mouvementée des marées, rêche de sels et de vents. Et bienvenu à l’horizon quadrillé de ces palais dorés. Sacrifice de vie, mais c’était un maigre prix. D’ici quinze ans, peut-être, il en aurait marre. Mais aujourd’hui, il tenait à accompagner sa belle partout où elle allait. Alors oui, elle était accompagnée, la demoiselle ! Oui, et Kero n’était pas près de la lâcher, même s’il devrait passer par toutes les familles au sang bleu de la Franche-Comté. Mais tant qu’à faire, autant se facilité le parcours. Grand sourire, et il ouvrit la bouche pour plaisanter :
Et maintenant, elle l’est doublement !
Un mur lui répondit. Face impassible des nobliaux et serviteurs encroutés dans leurs conventions et leur protocole. Mais sortez-vous donc les balais du cul, mes pauvres… Vivez ! Volez ! Virevoltez avec le vent. Voguez sur la vague de la vie ! Mais non. Rien, juste un air pincé, voir agacé. Comme toujours. Très bien, puisqu’il fallait se tenir docile et flatter les règles dans le sens du poil…
Arhm, excusez-moi. Keraumi Lagan, fils de Njord. J’accompagne Ma dame.
Petite courbette selon l’étiquette, emballer c’est pesé. S’il fallait hurler parmi les loups, il s’y collerait.
Invité- Invité
Re: La venue tant attendue
par Hector Lefranc Mer 16 Mar - 13:54
Il était temps que l'homme se présente ...... on entre pas dans le domaine comme dans un moulin non plus. Et sans présentation officielle , le vieux majordome aurait pu le prendre pour un simple garde surtout que l'homme s'était tenu en retrait .
Hector le regarda des pieds à la tête d'un air imperturbable et sans un mot inclina juste le buste
" Bienvenu à Arolsen Messire "
Puis s'adressant au couple
" veuillez me suivre Madame vous attends dans le petit salon
Hector le regarda des pieds à la tête d'un air imperturbable et sans un mot inclina juste le buste
" Bienvenu à Arolsen Messire "
Puis s'adressant au couple
" veuillez me suivre Madame vous attends dans le petit salon
Hector Lefranc- Messages : 3
Date d'inscription : 09/03/2016
Re: La venue tant attendue
par Invité Mer 23 Mar - 10:35
La jeune femme sourit a la situation et aux réponse donnée,
puis elle posa sa main sur l'avant bras de son ami et lui sourit avant de se tourner vers le majordome.
Nous vous suivons.
Ils lui emboitèrent le pas jusqu'au petit salon, la bonde restant silencieuse et observant la décoration et tout se qui passait sous son regard..
puis elle posa sa main sur l'avant bras de son ami et lui sourit avant de se tourner vers le majordome.
Nous vous suivons.
Ils lui emboitèrent le pas jusqu'au petit salon, la bonde restant silencieuse et observant la décoration et tout se qui passait sous son regard..
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Re: La venue tant attendue
par Invité Mer 23 Mar - 16:31
Le petit salon. Sous un sourire empâté de circonstance (un sourire de noble, tout juste assez poli pour que l’on comprenne ce qu’il voulait dire, sans que l’on puisse y redire quelque chose), Kero jetait un œil sur la décoration. Et ses pensées tournaient sans relâche. Le petit salon... Parce qu’il y a un grand salon. Et pourquoi pas un très grand, tant qu’ils y sont ! Tant d'espace, pour si peu de monde... Si Cal était à ma place, il en tomberait raide mort !
En réalité, le jeune homme grognait pour grogner. Il savait très bien pourquoi il y avait des nobles, et pourquoi il y avait des miséreux. Mais son sang breton et ses idées libérales travaillant de concert, il ne pouvait s’empêcher de casser du sucre sur le dos des biens lotis.
Puis les étalages de richesses n’aidaient pas. Certes, étalement était un bien grand mot. Oui, tout était bien arrangé. D’accord, c’était même joli et bien moins agressif qu’ailleurs. Mais même. Il en connaissait d’autres qui iraient jusqu’à tuer pour un chandelier tel que celui-ci !
Toujours d’humeur un peu maussade, il suivait le majordome tout aussi grognon que lui. Il marchait toujours un peu en retrait, derrière Saphyr, la couvant des yeux dès qu’il pouvait. Cette vision lui suffisait à lui rendre le sourire. Bizarrement, il la voyait très bien au milieu de tout cela. Mais ils arrivèrent au fameux petit salon. Le majordome les annonça, et ils purent entrer dans cette « petite » pièce dans laquelle l’attendait « Madame ».
En réalité, le jeune homme grognait pour grogner. Il savait très bien pourquoi il y avait des nobles, et pourquoi il y avait des miséreux. Mais son sang breton et ses idées libérales travaillant de concert, il ne pouvait s’empêcher de casser du sucre sur le dos des biens lotis.
Puis les étalages de richesses n’aidaient pas. Certes, étalement était un bien grand mot. Oui, tout était bien arrangé. D’accord, c’était même joli et bien moins agressif qu’ailleurs. Mais même. Il en connaissait d’autres qui iraient jusqu’à tuer pour un chandelier tel que celui-ci !
Toujours d’humeur un peu maussade, il suivait le majordome tout aussi grognon que lui. Il marchait toujours un peu en retrait, derrière Saphyr, la couvant des yeux dès qu’il pouvait. Cette vision lui suffisait à lui rendre le sourire. Bizarrement, il la voyait très bien au milieu de tout cela. Mais ils arrivèrent au fameux petit salon. Le majordome les annonça, et ils purent entrer dans cette « petite » pièce dans laquelle l’attendait « Madame ».
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